Il s’agit d’un « dispositif médical à usage individuel, destiné à compenser électroacoustiquement, au moyen d’une amplification appropriée, les pertes d’audition des malentendants ou les troubles de la compréhension. Le dispositif est de petite dimension et alimenté de façon autonome au moyen de batteries (piles ou accumulateurs). »
Extrait de l’arrêté du 14 novembre 2018.

Il existe plusieurs types d’aides auditives en fonction de votre profil auditif, de vos attentes, du niveau de confort attendu et de votre budget.
– contour d’oreille (microphone et écouteur situés à l’arrière du pavillon) ;
– contour à écouteur déporté (écouteur intra-auriculaire et microphone à l’arrière du pavillon) ;
– intra-auriculaire (microphone et écouteur dans la conque ou le conduit auditif).

Et plusieurs classifications, classe I ou classe II.

« En tout état de cause, l’appareillage comprend le choix, l’adaptation, la délivrance, le contrôle d’efficacité immédiate et permanente de la prothèse auditive et l’éducation prothétique du déficient de l’ouïe appareillé.
La délivrance de chaque appareil de prothèse auditive est soumise à la prescription médicale préalable et obligatoire du port d’un appareil, après examen otologique et audiométrique tonal et vocal.
»
Extrait de l’art. L4361-1 du code de la santé publique.